Les mots de la colère

Les mots de la colère

Les mots de la colère

Avez-vous remarqué la sensibilité de personnes par rapport au mot ?

Avez-vous remarqué la sensibilité de personnes par rapport au mot ?

N’avez-vous jamais constaté, vu, une personne réagir sur un mot ? Une phrase qui vous est anodine ?

Nous avons tous une perception différente.

Il est évident que des mots porteurs d’émotions, représentatifs de situations, de contextes sont des révélateurs et provoquent des réactions : Pleurs, colère, fureur, fuites, ……

Des exemples ?

Je prendrais, innocemment( ?), des mots comme : Voleur, mentir, injustice.

Le mien, celui qui me fait réagir (au moment ou j’écris ces lignes !) est « INJUSTICE ».

Pour une personne que je côtoie, c’est « VOLEUR ».

Pour une autre personne, c’est « Etre pris pour » je ne dirais pas de quoi, mais vous devinez aisément que ce n’est pas l’aspect positif qui le met en colère.

 

Nous avons tous des mots de la colères

Apprenons à connaître les mots qui nous font réagir .

Ces réactions, et je viens d’en vivre une intense, ne sont pas anodine et demande de me poser pour comprendre.

Dans mon cas, il m’a fallu relire plusieurs fois pour comprendre que l’injustice était présente dans le mail reçu. Je ne l’avais pas perçu à la première lecture mais mon inconscient, lui, Oui. Et je me suis retrouvé dans un état de colère, de fureur.

Mon premier réflexe aurait été de répondre, mais les mots dans les courriels ont une portee plus fortes que de simples mots donnés oralement. Je me suis abstenu de le faire. Pardon, j’ai fait une réponse, simple, courte mais sans plus de mot. ½ ligne au plus.

L’important n’est pas le pourquoi on régit, mais de s’en libérer

Après, j’ai relu plusieurs fois ce mail et j’ai fini par voir qu’il y avait une injustice qui me concernait. J’ai passé la nuit à ressasser ce mail et la réponse que je veux faire. La poussé de la colère m’a donnée un éveil qui n’a d’égale que la somnolence vécu le lendemain.

Mais d’où vient cette réaction à l’injustice ? Comment ces mots que seul mon inconscient avait décryptés ont pu me mettre dans cet état ?

Est-ce le fait d’avoir été un bouc émissaire des soi disant  « copains » dans mes premières années de scolarité ?

Ou cela provient-il de mémoire cellulaire ? Antérieure ? De vie passée ?

Là, il me faut faire me poser à nouveau pour comprendre.

Mais à la limite ce n’est pas la réponse du pourquoi qui m’intéresse.

Ce qui m’intéresse c’est le fait d’évacuer ces émotions et ainsi de me libérer de ce poids.

Le monde d’aujourd’hui est en pleine transition

Le monde d’aujourd’hui est en pleine transition

Le monde d’aujourd’hui est en pleine transition

Le temps s’accélère ce qui vous oblige à prioriser vos actions

Le temps s’accélère ce qui vous oblige à prioriser vos actions, à faire vos choix pour aller à l’essentiel, l’essence ciel, dans le sens des cieux.

Vous vous devez de garder vos perceptions ouvertes pour ressentir, être à l’écoute et ainsi pouvoir agir, réagir.

Le niveau vibratoire de la terre bouge pratiquement tous les jours. L’adaptation n’est pas facile et çà vous demande de l’énergie. Ce n’est pas étonnant si vous vous sentez régulièrement « à plat », ou « totalement vidé ».

La terre change, noius devons accompagner ce changement et non pas le combattre

C’est pas que vous ne faite rien, ce n’est pas que vous n’êtes pas efficace, c’est juste qu’il vous faut apprendre à vous couler dans ces niveaux vibratoires pour entrer en résonnance et ainsi démultiplier votre énergie.

Il y a vos énergies propres, mais aussi celle des principaux lieux que vous fréquentez.

Le premier est là ou vous dormez. Oui, dans ce lieu vous y passez quasiment le tiers de votre temps.

 

Votre énergie doit être en adéquation avec les lieux ou vous oeuvrez

il est important que les énergies et le niveau vibratoire vous correspondenT

Le second sera celui de votre travail, de votre entreprise, de votre bureau. Vous y passer aussi quasiment un autre tiers de votre temps.

Si vous n’êtes plus en activités, regardez ou vous passer votre temps.

Dans ces lieux, il est important que les énergies et le niveau vibratoire vous correspondent. Les niveaux d’énergies des lieux que vous fréquentez régulièrement et sur de longue durée, doit être en accord avec votre niveau vibratoire.

Faire le nécessaire pour chez soi est facile. Cela l’est moins pour un bureau, sauf si vous en êtes le propriétaire….

Les actions à faire vont dépendre d’où vous en être. Votre niveau vibratoire est un bon reflet. Faites en la mesure par la radiesthésie (ou faite la faire par une personne de confiance). L’idéal serait que les lieux que vous fréquentez soit au même niveau, ou très proche. Le mieux étant juste au-dessus afin que le lieu ne vous rabaisse pas.

Travail sur soi pour se débarrasser de ce qui ne vous appartient pas.

Chez vous, vous avez toute liberté d’agir. Apprenez, faite venir un géobiologue, un maître en Feng-Shui, etc… choisissez ce qui vous parle et surtout, un prestataire, une personne en qui vous avez confiance.

Pour le bureau ou les lieux qui ne vous appartiennent, pas, regardez pour avoir sur vous une pierre qui absorbe certaines énergies basses. N’hésitez pas aussi à poser un cristal sur votre bureau que vous aurez nettoyé et programmé pour justement nettoyer et faire monter les énergies pour les mettre à votre niveau.

Une fois le travail fait, apprenez comment vous pouvez le vérifier car les énergies bougent régulièrement. Il est donc important de refaire ces mesures pour agir rapidement, sans attendre de se retrouver à nouveau « à plat ».

Ceci étant, tous les éléments externes sont des aides utiles, mais sachez que vous avez tout en vous et que vous pouvez tout faire par vous-même. Simplement par actions de votre conscience.

Mais ce travail demande du temps, de la persévérance et une attention quasi quotidienne.

Travail sur soi pour se débarrasser de ce qui ne vous appartient pas.

Travail sur soi pour se défaire des programmations induites par votre vie, par vos fréquentations, par les émotions vécus

Travail sur ses pensées pour aiguiser sa conscience, pour être pertinent dans ses actions, agir en conscience en toute circonstance, faire des choix en accord avec ses valeurs.

Travail sur sa parole pour être clair, pour marcher ses mots,

Travail sur ce que l’on subit pour justement ne plus le subir ou alors le subir en conscience quand on ne peut s’y soustraire.

Pour ces travaux, il faut une attention de chaque instant. La méditation est un élément clé, pour ne pas dire incontournable, pour y arriver.

Par médiation nous entendons simplement de se poser quelques instants, dans un lieu ou vous êtes bien, en sécurité et sans risque d’être dérangé. Durant cette pose, apprenez à laisser passer votre agitation mentale, à voir vos pensées défiler devant vous sans même les retenir. Cela vous conduira à un état de silence intérieur propice à une introspection. Avec le temps vous y prendrez du plaisir et vous y passerez de plus en plus de temps.

Une fois le silence intérieur atteint, il vous sera facile de choisir un thème, un seul, et de le voir, de le ressentir. La vision étant clair, vous en percevrez rapidement ce qui est important pour vous et, à partir de là, faire des choix de vie en conscience.

Ne chercher pas à faire de la méditation pendant des heures. Pas la peine d’avoir des tonnes de fichiers audio à écouter avec un guide. Il vous suffit juste de vous poser avec vous-même, de prendre deux ou trois respirations profondes, de fermer les yeux, sans forcer, et rester dans cet état quelques minutes.

Ceci étant, avoir une méditation guidée peut s’avérer utiles. Ne serait-ce que pour faire les premières séances.

Par la suite, la méditation guidée peut aider à avancer sur une voie, un chemin. Pour aider à explorer une piste, une envie ponctuelle. A vous de choisir votre guide et le thème. Voir, vous pouvez être votre propre guide. Rien n’est interdit, ou du moins, les interdits, c’est vous qui vous les posez. Apprenez juste à les dépasser.

C’est quoi une réponse ?

C’est quoi une réponse ?

C’est quoi une réponse?

Une réponse est une phrase dite après une question

Réponse : C’est quoi une réponse ?

Au premier abord, une réponse est une phrase dite après une question.

Une réponse est une information obtenue après une question.

La clé de la réponse est la question.

Un peu comme avec un pendule : Pour avoir une réponse fiable, il que la question soit précise et ici, nous rajouterons : pertinente.

Et s’il n’y a pas de question, il n’y a pas de réponse. Mais ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de réponse qu’il n’y a pas d’information.

L’information ne dépend pas du nombre de question formulées et donc de réponse obtenues. 

 

L’information suit ses propres chemins, ses propres voies pour arriver jusqu’à vous.

Les réponses arrivent sans même poser la question .

Et si tu es bien avec toi-même, en accord avec ton environnement, avec l’univers, tu verras que tu n’as plus besoin de poser de question pour obtenir des informations : celles-ci arriveront d’elles même sans même les avoir sollicitées.

Les questions sont issu du mental et de l’égo qui ont besoin de maîtriser ce qui les entoure et pour ce faire, recherche des réponses que souvent ils ont déjà, mais ne veulent pas le voir.

Apprenez à être en symbiose avec votre environnement, avec l’univers et regarder ce qui vient à vous. A partir de là, vos questions vont diminuer, voir devenir inutile. Ce qui est, est.

Vous connaissant, en tant qu’occidentaux, votre mental est fort et comme vous vous en servez quotidiennement, vous aurez des questions. Mais vous verrez qu’avec le temps, elles seront différentes. Plus simples, sans attente et les réponses encore plus pertinentes.

Restera à apprendre à « lire » les informations qui viendront à vous. Car celles-ci viendront sous différentes formes : un texte, une publicité, une discussion impromptue, un encart dans une revue, une intuition, un rêve, une vision, ….. Apprenez à rester ouvert pour ne pas passer à côté de ces informations.

Oser, expérimenter, tester Trouver, accepter et expérimenter ses « pouvoirs », ses capacités encore enfouies au fond de soi

Oser, expérimenter, tester Trouver, accepter et expérimenter ses « pouvoirs », ses capacités encore enfouies au fond de soi

Oser expérimenter

Quelles « forces » avons-nous au fond de nous ?

Ces « forces » sont enfouies sous nos masques, sous le « qui on est » et toutes les peurs et les interdits et limitations que la vie nous a donnés et que nous avons intégrés en nous. 

Beaucoup d’entre nous avons un ressenti que nous avons fini par enfouir au fond de notre être car ce ressenti dérangeait ou apportait moqueries et autres railleries.

Ressenti souvent révélé dans l’enfance mais que personne autour n’accompagnait.

Combien de parents ont dit à leur enfant que les monstres n’existaient pas ?

Que parler à une personne qu’on ne voit pas est de la pure imagination ?

Pour ne citer que ces deux exemples.

Et combien d’enfants ont fini par enfouir et couper ces ressentis suite à ce type de remarques ?

Et adulte, un des travails consiste à retrouver ces ressentis, ses capacités enfouies.

Et là aussi, cela se fait par étape.

La première est de reprendre confiance en soi.

La suivante est de travailler sur ses peurs pour, justement, ne pas avoir peur de qui on est et ce que l’on va vivre avec ces ressentis.

Certes, nous n’avons pas tous les mêmes ressentis et capacités enfouies.

Voir et parler à des entités est plus déroutant que de simplement ressentir une énergie présente ou d’apporter une guérison comme le fait un magnétiseur.

Faire une liste des ressentis et des capacités possibles est mission impossible car, chaque être est différent et pour chacun, les capacités ne sont pas les mêmes.

Oser, expérimenter, tester, trouver, accepter et expérimenter ses « pouvoirs », ses « capacités » encore enfouis au fond de soi nous permet d’être qui nous sommes

Franchir les peurs et les limites qui nous ont été données par la vie, prendre conscience des nos forces et de nos faiblesses va nous permettre de déployer nos capacités pour le bien de tous.

Avoir des capacités ne nous rend pas supérieur ou meilleur que les autres.

On est juste différent.

Et cette différence il nous faut l’accepter. Accepter notre différence comme on se doit d’accepter la différence que la personne face à nous, nous présente.

Se croire supérieur risque de nous faire prendre un chemin difficile, conduit par l’ego alors que c’est le Cœur qui doit nous aider à tracer notre route. 

Ceci est d’autant plus vrai que nos capacités sont fortes et puissantes.

Et plus nos capacités sont fortes et puissantes, plus notre part de responsabilités est importante, surtout si nous les mettons à disposition de ceux qui nous entourent, qui viennent à nous.

Mais que faire de nos capacités une fois révélées et connues de soi ?

Le mieux étant de les laisser s’exprimer. Leur permettre de vivre et de grandir avec soi.

Et de les utiliser.

Une capacité non utilisée est une capacité qui va s’endormir et finir par disparaître.

Alors qu’une capacité régulièrement utilisée va s’affiner, s’amplifier.

 

Le tout étant d’apprendre à vivre avec et à rester soi tout en révélant l’être véritable que nous sommes.

Gardons en mémoire que nous sommes un être de lumière venu faire une expérience humaine et non pas l’inverse.

Nos capacités, nos pouvoirs sont issus de notre être de lumière. Révéler nos capacités et pouvoir c’est ouvrir la porte pour que l’être de lumière que nous sommes se révèle.

Se révèler à soi mais aussi à tous ceux que nous côtoyons.

Et cela nous demande aussi un travail pour faire que le paraître soit le reflet de l’être que nous sommes.

Le paradoxe du monde

Le paradoxe du monde

LE paradoxe du monde

 

 

 

 

 

 

Laissons notre imaginaire parler

Je vous propose de « délirer » un peu.

Dans ce chapitre c’est l’imagination pure et dure qui s’exprime, quoique…..

La Terre, notre planète est ancrée dans un système que nous appelons couramment « le système solaire »

Celui-ci c’est quelques planètes qui gravitent autour d’un point que nous appelons « le soleil »

Autour de certaines planètes, gravitent des satellites (pour la terre, c’est la lune)

Ce système est placé au milieu d’autres systèmes similaires qui forment des galaxies et l’ensemble notre univers.

Maintenant, je vous propose de passer à l’atome.

Un atome, c’est un noyau autour duquel gravitent des électrons. Le nombre d’électrons et la composition du noyau caractérisent l’atome en lui-même.

Dites-vous que le noyau est un soleil et que les électrons sont des planètes qui tournent autour.

Ne trouvez-vous pas cette similitude étrange ?

Ce qu’il y a de plus grand à nos yeux (la galaxie) a une « structure » similaire à ce qu’il y a de plus petit.

Prenez plusieurs atomes et faites en une molécule, n’avons nous pas là une « galaxie » ?

Pour pousser le bouchon un peu plus loin, dans cette similitude, on peut se permettre de dire que notre système n’est peut être qu’une « molécule ».

Mais une molécule de quoi ?

Une molécule d’eau dans un océan ?

Une molécule de carbone dans un corps vivant ?

Et si ce « délire » était vrai, notre système ne serait qu’un atome d’une structure vivante ou inerte. Mais de quel monde ?

Je continue mon délire. C’est totalement gratuit et ça n’engage que moi.

Si l’atome que nous sommes n’est qu’un élément d’un corps vivant. Quelqu’un à notre image, un « humain » ou un « humanoïde ».

Cet « humanoïde », pourquoi ne serait-il pas notre « Moi supérieur » ?

Cela ouvre des perspectives imaginatives et inimaginables.

Il y aura bien un cinéaste qui va reprendre cette idée, et j’attends avec impatience de voir le film qui en résulte. (Sacré défi ?)

La mémoire de l’eau

La mémoire de l’eau

La mémoire de l’eau

 

 

 

 

 

 

L’eau a des propriétés méconnues

La molécule d’eau a une propriété longtemps méconnue qui est la faculté de mémorisation.

Cette propriété est la base de l’homéopathie (et des Fleurs de Bach).

Vous savez ces petites billes rondes de couleur blanche qu’il faut faire fondre sous la langue et qui ont un goût sucré.

Le principe de fabrication (si vous avez des informations plus précises, je suis preneur) est le suivant :

Vous prenez de l’eau que vous filtrez de manière à ce qu’il ne reste que la molécule d’eau (H2O).

Cette eau, vous en mettez une quantité connue en contact avec le produit, la plante, qu’elle doit « mémoriser ».

La vie nous amène toujours là où l’on doit aller.

Pour chaque CH, vous diluez cette quantité par 1000.

A l’eau résultante, vous rajouté de l’ASPARTAM (un édulcorant) et vous fabriquez des petites billes rondes de couleur blanche ou vous la mettez dans des flacons pour la prendre sous forme de goutte.

Quand vous absorbez cette eau, la mémoire de cette eau est transmise aux molécules d’eau de votre corps. L’action du produit ou de la plante ainsi mémorisée peut commencer.

Notre corps est composé de 80 % d’eau.

Cela signifie que chaque fois que nous buvons de l‘eau, la mémoire de cette eau est absorbé par notre corps.

Je me permets de faire un aparté sur le four à Micro-ondes.

Son fonctionnement est basé sur le mouvement Brownien des électrons des molécules d’eau.

Les ondes émises par ce type de four, accélèrent le mouvement brownien des électrons des molécules d’eau. Cette accélération se traduit par une élévation de température. Mais comment cela se traduit-il sur le contenu mémoriel de ces molécules d’eau ?

A défaut de savoir, ma femme et moi avons pris le parti de nous passer du four à micro ondes.

Nous avons aussi investi dans un filtre à eau. Même si l’eau de Lyon est potable, très bien traitée et bonne à boire (il faut le dire), nous ne savons pas avec précision quel traitement physico-chimique elle peut subir et ce que deviennent les informations mémorisées.

Le filtre que nous avons n’est peut être pas le filtre idéal, mais c’est mieux que rien.

Ceci étant, je pense que notre corps emmagasine d’autres informations. Je ne parle pas de la mémoire du cerveau mais bien de celle de notre corps. De celles qui se logent dans notre eau, dans nos cellules.

Ces informations sont d’ordre émotionnel.

Chaque « émotion », « traumatisme » que nous subissons, si nous n’arrivons pas à l’évacuer, à l’assimiler, reste en nous et devient un blocage énergétique.

La somme de tous les blocages énergétiques empêche la circulation de notre énergie dans notre corps. Et je pense que l’origine d’un certain nombre de maladies comme les cancers, les tumeurs, les maladies de peau, les problèmes respiratoires, etc.. en découle.

Je le dis, je ne suis pas médecin. Je ne détiens pas LA vérité. Je ne fais qu’écrire ce que je ressens, ce que je crois, suite à mes expériences personnelles. L’avenir dira si j’ai raison ou non. Maintenant, si vous avez des informations qui me permettraient de corroborer mes écrits, ou au contraire de les infirmer, merci de me les transmettre.

Les « outils » décrits dans les rubriques suivantes sont des moyens pour évacuer ces charges, permettre à nouveau la libre circulation de l’énergie dans notre corps et ainsi de se libérer de leur carcan.

Laisser parler ses émotions nous rend plus libre d’être soi

Chaque charge émotionnelle en nous est un frein à la libre circulation de nos énergies. Des énergies de notre corps.

Les canaux étant les méridiens de notre corps. La base de l’acupuncture est de refaire circuler l’énergie dans ces méridiens. Mais ne supprime pas forcément les charges émotionnelles à l’origine de ces blocages.

Ceci étant, il ne faut pas croire, qu ‘à la naissance, nous avons un corps vierge de toutes émotions. Ce n’est pas vrai.

Notre corps a été conçu à partir de celui de notre mère. Notre corps a été construit avec les molécules d’eau, charge mémorielle incluse, du corps de notre mère (et un tout petit peu de celui de notre père, ne l’oublions pas, même si son rôle dans ce cas est moindre). Et elle-même a été conçue avec celui de sa mère (et un peu de son père), etc….

Je vous rassure, la charge mémorielle ne remonte pas à Adam. Au fil des générations (7 ?) elle s’estompe.

Maintenant, réfléchissez à ce qu’ont pu subir vos parents, vos grands-parents, à ce qu’ils ont pu vivre dans leur vie.

Récemment, nous avons eu deux guerres mondiales, plus celle d’Algérie. Avant on arrive à la révolution française avec le régime de terreur et les décapitations en série.

Regardez aussi les conditions de vie. Les tabous sociaux, les interdits, … etc.

Une des étapes est de comprendre son passé. C’est peut-être pour ça que la généalogie prend de l’ampleur en ce moment.

Quand je dis comprendre, ce n’est pas de savoir s’il y a eu des fautes, mais trouver où il y a eu création d’une charge émotionnelle pour la connaître, travailler dessus et l’éliminer.

De la même manière, ce que nous avons hérité du passé, nous le léguons à nos enfants, augmenté des charges que nous avons accumulé dans notre vie.

Alors pour casser cette dérive, il nous faut évacuer, se libérer, de ces charges. Déjà si vous êtes jeune et n’avez pas encore eu d’enfants, mais même si vous avez déjà fondé une famille et encore plus si vous êtes grands-parents.

Votre « libération » se verra. Elle fera prendre conscience à votre famille de ce qui s’est passé. Cela vous permettra d’agir différemment, en particulier de ne pas « charger » vos proches par de nouvelles charges émotionnelles, et vous, en vous libérant de ces charges, d’une part vous vous en porterez que mieux mais aussi, vous allez pouvoir, en racontant l’histoire de la famille, en « dévoilant » les secrets de famille, aider les autres à s’en libérer.

Vous verrez que certains « secrets » sont tenaces……