L’avenir de l’Homme passe par l’ouverture du Coeur
L’avenir de l’Homme passe par l’ouverture du Coeur
Développer son coeur c’est :
S’ouvrir à l’amour.
Prendre conscience de notre monde
Accepter les autres mais aussi et surtout les différences
S’ouvrir à l’amour.
Prendre conscience de notre monde
Accepter les autres mais aussi et surtout les différences
Votre vie est le reflet de vos choix, de vos actes et mêmes des actes que vous n’avez pas réalisées.
Ne pas faire un acte c’est en fait en faire un. C’est paradoxal mais c’est comme ça.
Faire un acte est issue du choix de le faire. Ne pas faire un acte est aussi issu du choix de ne pas le faire.
Ce qui fait que ce que vous vivez est une résultante du passé.
Passé de votre vie actuel, mais aussi des vies antérieures puisque se sont celles-ci qui font que vous êtes là, à cette place aujourd’hui.
Et on en revient toujours au fait qu’il faut travailler sur soi. C’est le seul travail qui permette de véritablement évoluer. Ce travail sur soi va inhiber les programmes nocifs qui sont en vous. Voir de les neutraliser ou même de les supprimer ce qui est encore mieux puisque dans ce cas, n’existant plus ils ne pourront redevenir actif en vous.
Ce travail demande à être lucide sur qui on est, sur nos possibilités mais aussi nos limites. .
Il vous faut ouvrir votre cœur
Cela demande à nous connaître pour que, en premier notre égo et notre mental ne prennent le pas sur votre vie. C’est vraiment le premier travail à faire et c’est un travail de tous les jours, surtout dans vos sociétés occidentales.
Ensuite, il vous faut ouvrir votre cœur afin que celui-ci prenne sa place et qu’il vous aide dans vos choix, aussi bien des actes à faire que des paroles à prononcer.
Une fois que vous êtes dans le cœur. Que celui-ci a pris sa place, tout vous est permis. Enfin presque tout car il y a des limites à ne pas franchir. Limites qui sont variables en fonction de ce que vous devez faire et ou vous en êtes dans votre vie.
Allez dans le cœur est simple, surtout quand le mental est coupé et que l’égo est à sa place.
Mais votre vie fait que vous ne vous autorisez pas à rester dans le cœur et c’est dommage. Alors vous y allez de temps en temps, quand vous y pensez, ou quand vous avez le temps alors qu’en fait il faudrait faire le contraire : y être en permanence et « en sortir » quand vous avez besoin du mental, besoin d’être dans le factuel et non pas dans les émotions par exemple.
Vous connaître c’est aussi connaître votre capacité à accepter les nouveautés, les changements et les barrières que vous avez.
En fait, tout peut se faire dans l’instant présent. Demandez une guérison et celle-ci se fait à la vitesse de la pensée. Mais vos barrières font que vous avez du mal à accepter cette vitesse. Votre esprit n’est pas prêt pour travailler à cette vitesse. Vous avez besoin de suivre l’évolution de la guérison alors que ce n’est pas nécessaire. Mais vos limites, votre mental le demande et si ce n’est pas vu, alors cela n’est pas fait. Ceci est une croyance nocive qu’il vous faut extirper de vous. Ce n’est pas parce que votre mental ne voit rien que cela n’est pas.
Votre parole est forte. Ce que vous prononcez, l’univers l’entend. Ce que vous demandez, l’univers le fournit. Mais vous ne le voyez pas car vous n’êtes pas attentif à ce que vous prononcez. Devenez attentif à vos paroles, notez les s’il le faut et regardez ce qui vous arrive. Si vous êtes attentif et factuel, vous verrez que l’univers répond à vos demandes. Après à vous de faire attention à vos paroles et à ce que vous prononcez.
Et c’est pareil pour vos pensées. Mais là, l’univers en ayant assez de la cacophonie issues de vos pensées qui vont dans tous les sens, a mis des filtres pour éviter d’avoir des catastrophes quasi ne permanence sur cette terre.
Les pensées passent à travers ces filtres, ces barrières dans les cas suivants :
Là, vous voyez l’importance de maîtriser votre mental, vos pensées.
Vous voyez aussi l’importance de se regrouper pour faire des prières à plusieurs.
Et vous percevez l’importance de se poser et de méditer un peu chaque jour.
Soyez conscient de qui vous êtes, de ce que vous êtes, de vos pensées et de vos paroles et votre vie ne pourra que s’améliorer.
Autour de nous, nous avons des couples qui évoluent :
Des qui se forment
Des qui se séparent
Des qui passent à trois ou quatre
Des qui se défont,
Etc…
Et nous, notre couple, notre union, qui fait que depuis 1986, nous sommes toujours présent et heureux d’être ensemble, toujours en lien, jour après jour.
Ce que je dis aujourd’hui, dans ce texte, je ne l’aurais pas dit à 20 ans, ni à 30. Juste un peu à 40.
Pour moi, Vivre à deux c’est offrir sa liberté à son partenaire de vie.
Vivre à deux c’est : .
Et dans une union, chacun doit s’y retrouver. Chacun doit pouvoir vivre ses expériences, ses passions, mais pas au détriment de l’autre. D’où le concept « d’offrir sa liberté » à son partenaire et de le faire en conscience.
Ce n’est pas lui qui l’a prend, comme la société à coutume de le présenter, mais bien nous qui l’offrons. L’offrir n’a pas la même valeur de que le prendre. C’est un engagement qui vient du plus profond de soi.
Vivre à deux c’est :
Partager des moments
Partager des instants
Partager des passions
Partager des expériences,
Echanger
Dialoguer
Ecouter.
Vivre à deux, c’est aussi une conduite de vie.
C’est faire confiance, mais aussi donner confiance.
Ce que l’on accepte pour soi, il faut l’accepter pour l’autre.
Le reste, c’est du dialogue. C’est de la parole ET de l’écoute.
Le tout dans la réciprocité.
Simple ? Oui, très simple et facile à appliquer.
Ce postulat a mis plusieurs années pour devenir évident. Cette énergie est un lien qui unit tout ce qui est, tout ce qui vit, tout ce qui est présent sur cette terre comme dans l’espace dans lequel elle évolue.
Physiquement cela s’explique.
Descendez au niveau de l’atome. Qu’est-ce qui permet aux électrons de rester autour de son noyau ? Qu’est-ce qui permet à deux atomes de rester côte à côte ?
Maintenant, quand vous prenez une barre de fer.
C’est quoi une barre de fer si ce n’est qu’un ensemble d’atome, les mêmes, placés les uns à côté des autres ?
Prenez un ensemble plus complexe comme du bois qui est un ensemble d’atomes différents qui forment des molécules placées les unes à côtés des autres.
C’est quoi qui permet à cette barre ou à ce bois d’exister ?
C’est de l’énergie.
Des niveaux d’énergie différents suivant l’objet. Mais la première clé pour comprendre ce monde est de savoir / comprendre que tout ce qui existe est énergie.
Et un homme, ce n’est aussi qu’un ensemble composé principalement de molécules de carbone et d’eau (c’est aussi une véritable usine chimique, mais j’en parle dans un autre chapitre de ce site)
Mais c’est aussi de l’énergie. A des niveaux différents, mais c’est de l’énergie.
Pourquoi est-ce que cette barre de fer, ce bout de bois ou l’homme ne sont-ils pas pareils ?
Une différence est la vie (selon notre conception occidentale). Le fer ne vit pas. Par contre le bois ou l’homme vivent.
Le lien entre ces trois formes de vie est le niveau d’énergie qu’ils possèdent mais aussi le niveau vibratoire.
Déjà, autour du noyau de l’atome, chaque électron gravite avec des oscillations (le mouvement brownien). Et l’oscillation est la base de la vibration.
Une barre de fer est inerte et a un niveau vibratoire fixé par sa forme, par son revêtement, par son utilisation, mais fixe tant qu’aucune action ne vienne apporter une modification, un changement.
Un morceau de bois est aussi « inerte » et a un autre niveau vibratoire, différent suivant les saisons, suivant l’étape de vie de ce morceau de bois, mais qui se répète d’une année sur l’autre, jusqu’à sa mort et sa décomposition (dans le cas d’un cycle naturel complet).
Tout fait partie d’un cycle plus ou moins long.
Chaque étape du cycle correspond à un niveau vibratoire, à un niveau d’énergie.
Différents suivant les périodes de sa vie. Suivant s’il est en forme, malade ou, et, j’en suis convaincu, suivant son niveau de conscience et son niveau énergétique.
Ceci dit, les couleurs sont une vibration. Leurs particularités sont d’être visibles par l’oeil humain.
Mais le spectre de vibration va beaucoup plus loin que le visible.
Par exemple, les ultra-son, les ultra-violet, les ondes radios, etc… sont des vibrations que l’oeil ne perçoit pas, ni les oreilles d’ailleurs.
Nous avons donc des vibrations visibles, invisibles et je pense « subtile »
Les visibles ne sont pas là que pour le plaisir des yeux : Les couleurs ont des effets sur nous.
Ne dit ton pas voir la vie en rose, n‘y voir que du bleu, avoir des idées noires, etc….
Si les couleurs n’avaient aucun effet, ces expressions populaires n’existeraient pas.
Le rouge n’est-elle pas cataloguée comme excitante et le bleu comme calmante ?
Et le jaune comme couleur de la créativité ?
Les invisibles sont celles que nous ne voyons pas mais dont nous pouvons, à l’aide d’appareil, les détecter. Je pense aux ultra son, aux ultra violets, aux ondes radio, etc….
Ont elles des effets sur nous ?
D’abord pourquoi n’en auraient-elles pas ? Si les couleurs en ont, pourquoi celles qui sont juste à côté dans le spectre n’en auraient-illes pas ?
Pour mémoire, on se protège des ultra-violet quand on s’expose au soleil, et les ultra-sons servent à nettoyer, à coller des matériaux, etc….
Quels effets ont-elles sur nous ? Là nous rentrons dans un vaste débat.
Ce qui est sûr, c’est que nous sommes entourés par ces vibrations, nous les subissons quotidiennement. Donc, si effet il y a et qu’il ne soit pas visible sur le court terme, il est sûrement sur le long terme. Mais de quelle manière ? Là, je n’ai pas de réponse.
Est-ce des vibrations ? Ont-elles les mêmes propriétés que les autres ?
Je ne sais pas.
Ce que je sais, c’est qu’il y a quelque chose qui existe, qui vient en complément aux notions d’énergie et de vibration. Une troisième composante.
Aujourd’hui je la qualifie de vibration subtile, à défaut d’un autre vocable.
Peut-être que ces vibrations subtiles ne sont que les harmoniques des vibrations que chaque corps peut émettre dans des conditions particulières comme la résonance pour n’en citer qu’un.
Qu’ont-elles de particulier ? Je pense qu’elles sont à la base de l’intuition.
Je pense que se sont-elles qui font que deux personnes s’entendent ou se détestent. Se sont-elles qui font que l’on trouve qu’un arbre est plus beau qu’un autre par exemple.
Je suis convaincu que les médiums ou les sourciers par exemple, les perçoivent… même s’ils n’en ont pas forcément conscience.
De même, je suis convaincu que l’homme a la possibilité de modifier son niveau d’énergie, son niveau vibratoire et par répercussion son niveau de vibration subtile. Volontairement ou non, il en a la possibilité.
Pour reprendre l’exemple de l’arbre plus beau que son voisin, ce n’est pas l’arbre qui change d’harmonique ou de vibration, mais celui qui le regarde. Celui-ci à un niveau vibratoire qui est en harmonie avec celui de l’arbre, qui entre en résonance avec celui de l’arbre et que les harmoniques (vibrations subtiles) qui en découlent font que Cet arbre sera, à ses yeux, resplendissant.
Comment l’homme peut-il devenir sensible à ces vibrations et générer lui-même ses harmoniques ?
En en prenant conscience et en élevant son niveau de conscience.
Plus loin, je décris des outils qui permettent de le faire. Mais cette élévation n’est pas facile et ne se fait pas du jour au lendemain.
Et il n’y a pas de recette miracle. Il y a un chemin de Vie. A vous de le trouver, de le parcourir et de savoir prendre du recul pour visualiser et prendre conscience de votre évolution.
Pour cela, il y a du travail à faire. Sur soi, en soi et autour de soi. Les outils que je décris sont ceux dont j’ai eu connaissance, il en existe d’autres, mais ce ne sont que des moyens parmi d’autres pour y arriver.
En regardant autour de moi, je constate que beaucoup de personne cherche à vivre autrement. A créer ou à intégrer une communauté pour vivre, justement, en communauté.
Là, à cet instant, vous qui êtes derrière votre écran d’ordinateur à lire ces lignes : N’êtes vous pas déjà dans une communauté ?
Parce que, pour moi, une communauté existe à partir du moment où plusieurs personnes vivent sur une même zone, un même village, une même ville……. un même lieu.
Ne serait-il pas plus simple d’observer et de faire bouger ce qui est existant sur ce lieu ? notre lieu de vie ? Ne serait-pas un magnifique challenge que d’y arriver ?
Je prends pour exemple ce que je connais : La vie en immeuble. Mais je pense qu’il est facilement duplicable pour la vie en lotissement, en hameau, en village, etc….
Je reviens donc à la vie en immeuble. Le constat est, qu’aujourd’hui, qu’il est possible de vivre des décennies sans même connaître ses voisins de palier. C’est d’autant plus vrai que certains immeubles ont plus d’habitants que des villages, voire de petites villes. Pas loin de chez nous, il y a la “barre des 1000”. Mille appartements dans le même bâtiment. Quelle belle communauté cela ne ferait-il pas ?
Vivre sans même connaître ses voisins de palier : C’est terrible. Et rien qu’avec ce point, je comprends le souhait d’aller vivre ailleurs, là où les personnes se parlent, échangent, s’aident et partagent des instants de vie en toute simplicité.
J’ai fait ce constat. Je l’ai vécu. Et l’envie d’aller ailleurs pour ne plus être dans cette indifférence s’est fait fortement sentir. Et puis, justement, il y a eu cette réflexion : Mais ne suis-je pas déjà en communauté ?
Faut-il aller ailleurs pour prendre le risque de recommencer ces expérience, bassement humaine, de non dialogue, de relation égotique ou manipulatrice avec en prime des envie de pouvoir ?
Non. Nous avons dit non.
Alors nous sommes restés chez nous, mais pas les bras croisés. Parce que, pour faire vivre une communauté, il faut être actif.
En fait, il est tellement facile d’aller au-delà et de se retrouver dans une ambiance communautaire au sein d’un palier, d’un étage voire de l’immeuble que je me demande encore pourquoi ne l’ai-je pas fait avant.
Alors pourquoi chercher à faire ailleurs ce qui est déjà là ?
C’est simple comme un coup de sonnette
Oui. Pour créer cette ambiance, ce relationnel, il faut faire le premier pas. Plus précisément, les premiers pas.
Déjà, faut oser aller toquer à la porte du voisin pour lui demander une aide comme un peu de sel, un œuf pour faire un gratin par exemple.
Mais aussi, simplement lui donner une portion de la belle tarte que l’on vient de faire et qui est trop grosse pour nous.
Actions à faire sans en attendre de retour et surtout, ne pas hésiter à les refaire régulièrement.
Action simple qui permet une prise de contact et, avec le temps, un dialogue et le début de la fin du règne de l’indifférence.
Et votre voisin viendra lui aussi sonner chez vous, à partir de là, la vie ne sera plus la même.
Aujourd’hui, nous avons ces relations avec quelques uns de nos voisins. On sait que l’on peut compter sur eux et inversement. Quand on part en voyage, on est tranquille. Quoiqu’il arrive, quelqu’un fera le nécessaire, parera à l’urgence. Et inversement bien sùr.
Et quand on se croise au garage ou dans la copro, ou dans les rues, eh bien on prend quelques minutes pour discuter. Et pas que de la pluie ou du beau temps.
Après, il faut savoir se réfréner, car si nous sommes dans l’ouverture depuis quelques temps,, quelques années, ce n’est pas le cas de tous. Aller trop vite c’est prendre le risque de voir les portes se refermer car trop intrusif. Un appartement, c’est aussi une intériorité et tout le monde n’est pas prêt à recevoir en son sein.
L’étape suivante serait de pouvoir faire des activités, dans la copro, entre nous. Comme un apéritif dinatoire ou des soirées barbecues. Basique, mais efficace pour se réunir et échanger.
Après, c’est les idées qui sont à développer.
Un espace vert ? Pourquoi ne pas mettre un compost commun ? Pourquoi ne pas cultiver ensemble et partager les récoltes ?
Un local vide ? Il peut devenir un lieu de bricolage, de partage de passion (poterie, semence, bois, …).
Un peu de peinture ? Ne reste qu’à proposer des dates pour faire un travail de rénovation / décoration ensemble.
Et n’oublions pas que nous avons des outils comme internet qui peuvent nous aider à faire des mises en commun de ressource, d’information, etc… par l’utilisation de nuage (les « cloud ») à bon escient.
Dit comme ça, ça peut paraître simpliste.
Mais n’est-ce pas les idées les plus simples qui arrivent à faire bouger des montagnes ?
Si vous êtes ici, c’est que vous avez parcouru ce site, ou que vous allez le faire. Par ce fait vous vous doutez de ce que je veux / souhaite pour vivre.
Mais, comme je ne suis pas ermite et ne vis pas seul au fond d’une grotte, je suis bien obligé de me plier aux règles sociales de la vie en société.
Seulement, ce qui a changé depuis quelques temps, c’est que, la conscience est active. Je « sélectionne » les obligations auxquelles je me soumets. Et je m’y soumets en conscience.
Déjà, en premier, je reste moi et j’agis autant faire ce peu, dans la conscience de mes actes.
Ensuite, eh bien oui, j’ai un travail, un salaire et suis bien content quand j’obtiens une promotion comme je suis content de profiter de ce salaire pour faire plaisir à moi et autour de moi.
Dans mon travail, sur 1000 personnes, 3 savent ce que je fais de mes loisirs, 1 se doute de ce que je fais, quelques autres doivent se dire que je ne suis pas comme les autres et c’est tout.
Bref, tous les matins je mets mon costume de citadin pour aller travailler et que j’enlève aussitôt sorti.
Dans mon travail, j’applique les accords Toltèque. N’hésitez pas à le faire. Ca supprime tout le stress inutile. Et même, ça remet les éléments à leur juste valeur tout en les regardant autrement.
Vivre autrement c’est voir avec d’autres yeux ce qui nous est présenté sur un plateau. Amusez vous à décortiquer un journal TV. Celui de 20h par exemple. Comptez le nombre de fois que l’on vous raconte la même histoire. Ecoutez les questions posées à l’invité et surtout, quel rapport elles ont vraiment avec ce qui nous préoccupe réellement. Prenez conscience du niveau de futilité de la plus-part des questions.
Ecoutez aussi ce que vous ressentez.
Vous êtes à un concert et que dit votre corps à l’écoute de la musique ? S’il vous dit de partir, n’hésitez pas. Et refaite cette expérience avec d’autres styles de musique.
De même, quand vous êtes dans un lieu. Ecoutez votre ressenti. Faites le avant d’entrer dans un restaurant par exemple. Pour choisir entre deux, c’est quelque fois bien pratique.
De même, dans mon cercle de relation, celui-ci a évolué dans le temps. Les conversations et les échanges aussi. On est loin de la pluie et du beau temps. En fait, on s’approche du parler Vrai. Du parler Clair.
Le cadeau, c’est de rencontrer des personnes qui n’ont pas de paraître, juste une vie qu’elles vivent pleinement, en conscience. Par contre, pour rester avec elles, il faut aussi être soi et enlever son paraître. Etes-vous prêt à le faire ?
Ressentez, ne forcez pas les choix. Si vous avez un projet et qu’il a du mal à démarrer, ne forcez pas, c’est que ce n’est pas le moment. Mettez-le en stand by. Il mûrira et quand vous serrez prêt, il ressortira tout seul.
Personnellement, ma femme et moi aimons les voyages et le prochain c’est le Pérou. Mais cela fait presque deux ans que je regarde les tours opérateurs et décortique leur brochure pour finalement prendre une solution tierce, celle qui convient pleinement à notre envie de voyager.
J’ai aussi posé pour aller en Mongolie. Je sais quel type de voyage je vais faire. Ce qui me permet de penser que je vais le faire, c’est que je viens de renouer avec une cousine, dans l’ouverture de conscience et qui aussi, veut découvrir la Mongolie et ses traditions.
Par contre, un projet de voyage avec la Chine est aussi en stand-by. Je pensais le faire en 2009, mais je crois bien qu’il sera reporté à plus tard. Alors, je ne vais pas forcer. Je pose et je verrai quand il ressortira, s’il ressort un jour.
Ne forcez pas votre vie. Vivez là tout simplement.
La vie nous offre des opportunités de vivre des expériences plus ou moins difficile.
Mais chacune d’elle a ses raisons. Souvent, le plus difficile est de les comprendre et ensuite de faire le nécessaire pour réaliser un travailler sur soi et ainsi avancer d’un pas.
Comme beaucoup, j’ai eu ma part de travail et j’en aurai encore car celui-ci dure toute notre vie.
Le dernier en date a été d’apprendre à être qui je suis partout ou je pose mes pieds.
Travail pas simple, qui a durée pratiquement 5 ans.
Mais aujourd’hui j’ai gagné une liberté d’Etre.
Tout le monde vit des synchronicités ou, dit autrement, des évènements particuliers qui vont conduire nos pas.
Nous avons toujours la possibilité de ne pas les écouter et d’aller contre ! Mais ce n’est pas ce que je conseille. La vie nous demande d’avancer et de comprendre.
La vie nous demande de vivre et « d’être nous même » de la manière la plus sincère et libre.
Regarder votre vie passé et faites un lien en ces petits événements qui se sont produits avant, pendant, un changement important.
Attention à ne pas devenir superstitieux ! Avant tout, nous devons Vivre et profiter de la vie tout en étant dans le Coeur.
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